Walk on the wild side

Je marche à nouveau dans la ville ces temps-ci, comme autrefois. La ville et les livres semblent maintenant se superposer tout à fait. Je laisse mes pas me guider, au hasard et tourne sans le savoir dans la rue Elzévir où j’ai situé une partie de l’action des Successions. J’y cherche bien sûr la galerie Artefax, sans succès et me désespère de ne pas rencontrer Pascal Klein à qui j’aurais sans doute eu des choses à dire. Je repars déçu que la réalité n’ait pas, cette fois-ci, rattrapé la fiction. J’entre alors dans le musée Carnavalet pour y voir une toile dont j’aimerais m’inspirer dans un roman futur, mais les salles consacrées au XIXè siècle étant fermées durant tout l’été, je repars bredouille. Écrirais-je jamais ce livre ?

Addendum du 06 mai 2014 : Je viens de terminer ce livre que je ne me savais pas capable d’écrire. je n’ai toujours pas vu ce tableau.

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